jeudi 25 septembre 2008

ETUDE APEC 2008 "L'insertion professionnelle des jeunes cadres diplômés sur 2007"

Très bon cru 2007 pour l'emploi des jeunes diplômés, selon l'Apec.
Les diplômés de 2007 ont été plus facilement embauchés au statut cadre, plus souvent en CDI et avec de meilleurs salaires que leurs prédécesseurs de 2006.

Pour consulter cette étude cliquer sur ce lien.

http://www.latribune.fr/info/Tres-bon-cru-2007-pour-l-emploi-des-jeunes-diplomes--selon-l-Apec-~-IDFBDFBC2064392F65C12574CF001CB78D-$Mail=1

Lisez l'article ou cliquez directement dans la fenêtre située plus bas à droite dont l'intitulé est:

Pour aller plus loin...
- Etude de l'apec sur la situation en 2008 des diplômés en 2007.

Bonne lecture.

FORMATION/EVALUATION COMPETENCES/LEADERSHIP

75 % des cadres dirigeants affirment que renforcer les compétences de leadership est une priorité.. mais seulement 41 % de ces derniers se disent satisfaits par les programmes qui leur sont proposés et seuls 21 % estiment efficaces ces formations.

En plus, leur impact n'est quasiment pas mesuré puisque 80 % des responsables RH en Europe reconnaissent ne pas avoir mis en place de dispositifs d'évaluation ! Ca promet... Guerre des talents, fidélisation des HP, développement des compétences, etc...

Les dirigeants font grand cas de l'amélioration des compétences managériales.
Mais concrètement, en Europe, 7 entreprises sur 10 n'ont pas de plans de formation spécifiques pour les cadres ayant des responsabilités dépassant les frontières nationales !
Le sujet est un peu traité à la légère, c'est le moins qu'on puisse dire.

S'il fallait en rajouter : 71 % des managers déclarent que leur préparation à une fonction de dimension internationale est "moyenne" ou "pauvre"…

Toujours en Europe, 58 % des personnes considérées comme des "hauts potentiels" jugent leur programme de développement de bonne qualité, mais 38 % des entreprises européennes n'ont pas mis en place de système pour identifier les talents.

Du chemin reste à faire pour renforcer l'usage et l'efficacité de la Formation...

Source : Etude du Cabinet DDI cité par Le Monde Economie du 15.09.2008.

mercredi 10 septembre 2008

Création du Titre Emploi-Service Entreprise

A compter du 1er avril 2009, les entreprises de 9 salariés au plus bénéficieront d’un nouveau dispositif d’aide à l’accomplissement de leurs obligations en matière sociale : le Titre Emploi-Service Entreprise. Issu de la loi de modernisation de l’économie, ce dispositif est destiné à simplifier les formalités liées à l'emploi dans les petites structures.

Il remplacera dès lors l’actuel chèque emploi TPE ainsi que le titre emploi entreprise (TEE) aujourd’hui utilisable en cas d’emploi occasionnel.

Le Titre Emploi-Service Entreprise est réservé aux entreprises : - dont l’effectif n’excède pas 9 salariés, quelle que soit la durée annuelle d’emploi de ces salariés ; - ou qui, quel que soit leur effectif, emploient des salariés occasionnels dont l’activité n’excède pas 700 heures par année civile au sein de la même entreprise ou 100 jours, consécutifs ou non, pour les salariés non rémunérés en fonction d'un nombre d'heures.

En utilisant le Titre Emploi-Service Entreprise, l’employeur est réputé satisfaire aux formalités suivantes : - les règles d’établissement du contrat de travail ; - la déclaration préalable à l’embauche ; - l’établissement d’un contrat de travail écrit, l’inscription des mentions obligatoires et la transmission du contrat au salarié pour les contrats de travail à durée déterminée et les contrats de travail à temps partiel ; - la délivrance d’un certificat de travail.

Comme pour les titres auxquels il succède, le Titre Emploi-Service Entreprise permet aux entreprises : - d'obtenir le calcul des rémunérations dues aux salariés et de l'ensemble des cotisations et contributions d'origine légale et des cotisations ou contributions conventionnelles rendues obligatoires par la loi ; - d'effectuer les déclarations obligatoires relatives aux cotisations et contributions sociales qui doivent être adressées aux organismes destinataires : Urssaf, caisses de retraite et de prévoyance complémentaire, organismes d’assurance chômage et, le cas échéant, caisse de congés payés.

Les modalités de mise en œuvre de ce dispositif seront précisées par décret.
(c. séc. soc. art. L. 133-5-2 modifié).


Nathalie LEPETZ Rédaction de NetPME
Articles du 03 septembre 2008